

1967 : Édition originale française. Première partie : l’Europe, deuxième partie : les USA. Ce livre est une fenêtre ouverte sur l’intimité créative de deux écrivains hors normes, entre exaltation amoureuse et quête littéraire.
En fin d’ouvrage notes biographiques et notes explicatives…
Une rencontre explosive : En 1931, Henry Miller est invité chez Anaïs Nin à Louveciennes. Elle a 28 ans, lui 40. Elle le décrit comme un “moine bouddhiste à la peau rose” avec une bouche “pleine et sensuelle”. Dès ce premier échange, une alchimie littéraire et charnelle s’installe.
Miller préférait écrire ses lettres à la main, souvent tard le soir, quand “le stylo court silencieusement sur le papier”. Il disait que certaines choses ne pouvaient être dites à la machine.
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Reliure carton avec sa jaquette illustrée. Petits accros sur la jaquette. Tranche du haut insolée. Trace d’insolation sur la page de garde. Bon état intérieur. 411 pages.
🔍 Une correspondance brûlante et lucide entre deux âmes libres, révélant l’intimité littéraire d’un amour hors normes. Voici les mots-clés autour de ce livre :
• Henry Miller
• Anaïs Nin
• Lettres à Anaïs Nin
• correspondance littéraire
• Christian Bourgois éditeur
• édition 1967
• littérature américaine
• amour et écriture
• autobiographie
• lettres d’écrivains
• livre ancien
• passion littéraire
• jaquette illustrée
Anaïs Nin, la diariste compulsive : Elle a tenu son journal intime pendant plus de 60 ans, parfois en plusieurs exemplaires, adaptés à différents lecteurs. Elle écrivait même des versions “expurgées” pour ne pas choquer certains proches.
Des lettres comme des performances : Miller voyait ses lettres comme des œuvres à part entière. Il y mettait autant de soin que dans ses romans, avec des envolées lyriques, des confessions, des provocations.
Dernière mise à jour de la fiche : septembre 2025