Correspondance de George Sand et d’Alfred de Musset, par Félix Decori, E. Deman libraire éditeur. 1904
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Correspondance de George Sand et d’Alfred de Musset, par Félix Decori, E. Deman libraire éditeur.

50,00 €

1904, publié intégralement et pour la première fois d’après des documents originaux. Avec des dessins d’Alfred de Musset, et des fac-similés d’autographes. Lettre de George Sand et Émile Aucante, lettre de Émile Aucante à Félix Decori. Paris : 1833, Venise : 1834, Paris Baden : 1834, Paris : 1834-1835, lettre de M. L . Delisle administrateur général de la Bibliothèque nationale

Cette correspondance, établie par Félix Decori, dévoile leurs échanges authentiques.

La publication de cette correspondance a été motivée par le désir de George Sand de « réfuter les calomnies » qui entachaient sa relation avec Musset. Elle souhaitait que ces lettres soient publiées après sa mort pour rétablir la vérité sur leur histoire.

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Broché, couverture légèrement défraîchie, dos fatigué avec un petit morceau décollé sans manque. Quelques rares taches de rousseur sur les pages. Bon état intérieur. 243 pages.

🔍      Plongée dans l’intimité passionnée de deux géants du romantisme français, révélée pour la première fois dans cette édition historique. Voici les mots-clés autour de ce livre :

  • George Sand

  • Alfred de Musset

  • correspondance amoureuse

  • lettres originales

  • édition 1904

  • Félix Decori

  • Deman éditeur

  • fac-similés autographes

  • dessins de Musset

  • romantisme français

  • littérature du XIXe siècle

  • livre rare

  • édition originale

  • passion littéraire

  • Venise 1834

  • Sand Musset lettres



Texte établi par Félix Decori, en qualité d’éditeur scientifique. Félix Decori, avocat, homme de lettres et confident du président Raymond Poincaré, est mort d’une crise cardiaque dans son bureau à l’Élysée en 1915, après un dîner chez le comte Potocki. Le président, bouleversé, descendit à son chevet, et c’est Madame Poincaré elle-même qui ferma les yeux du défunt — un geste rare et intime, révélateur de l’estime dont jouissait Decori dans les cercles du pouvoir. Sa veuve, Magdeleine Perrody, légua ses papiers à la Bibliothèque nationale, où ils sont encore consultés par les chercheurs. Certains biographes murmurent qu’elle aurait été la maîtresse de Poincaré, ajoutant une ombre romanesque à cette figure discrète mais influente.



Dernière mise à jour de la fiche : octobre 2025

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