Voyage en France : Région parisienne III sud, par Ardouin Dumazet, Berger Levrault éditeurs. 1906
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Voyage en France : Région parisienne III sud, par Ardouin Dumazet, Berger Levrault éditeurs.

30,00 €

1906. Gâtinais français, Haute Beauce, Bocage Gâtinais, Haut de Seine, Forêt de Fontainebleau, Pays de Bière, Étampois, Beauce Pituéraise, La vallée de l’Orvanne, Nemours et le Loing , la foret de Fontainebleau, l’École d’application de l’artillerie et du Génie, l’industrie à Essonnes L’auteur mêle descriptions naturelles, historiques et industrielles : il évoque les vallées agricoles, les villages anciens, les routes forestières, mais aussi les usines, les écoles militaires et les transformations du territoire. Avec cartes et croquis en noir et blanc. En fin d’ouvrage un index alphabétique.

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Reliure éditeur toile grise, dont les coins sont usés, mais sans manque. Première de couverture et dos détachés du corps du livre. Papier jauni, quelques traces d’humidité sur les dernières pages. Bon état intérieur. 424 pages.

🔍     Un voyage dans les terres oubliées du sud parisien, entre forêts royales, vallées fertiles et bastions industriels. Voici les mots-clés autour de ce livre :

  • Ardouin-Dumazet

  • Voyage en France

  • Berger-Levrault éditeur

  • Région parisienne sud

  • Gâtinais Beauce Fontainebleau

  • Géographie historique

  • Cartes anciennes

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  • Patrimoine rural

  • Livre ancien 1906

  • Vallée de l’Orvanne

  • École d’artillerie du Génie

  • Livre rare Ardouin-Dumazet



Victor-Eugène Ardouin-Dumazet (1852–1940) est l’un des plus grands chroniqueurs géographiques de son temps. Dans ce volume, il décrit la forêt de Fontainebleau comme “le plus grand musée naturel de France, où les rochers sont des sculptures et les sentiers des galeries”.
Il y évoque les peintres de Barbizon, les promeneurs solitaires, et les militaires en manœuvre, tous réunis dans ce décor majestueux. Ce passage est l’un des plus poétiques de l’ouvrage, mêlant art, nature et mémoire.

Ardouin-Dumazet refusait de voyager en automobile, préférant la marche ou le train local pour “sentir le pouls des villages”.
Il disait que “
les routes racontent plus que les gares”, et prenait soin de noter les conversations entendues dans les auberges, les marchés ou les haltes ferroviaires. Son style est nourri de cette immersion totale dans le quotidien français.

Dernière mise à jour de la fiche : septembre 2025

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