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1968. Dans ce livre Pearl Buck évoque la vie de sa mère en même temps que sa propre jeunesse. Une jeune Américaine suit son mari missionnaire en Chine, entre foi, exil et quête de sens
Pearl Buck fut la première femme américaine à recevoir le prix Nobel de littérature en 1938. Elle a grandi en Chine, ce qui imprègne profondément ses récits. Elle a aussi fondé une organisation pour l’adoption d’enfants eurasiens, traduisant son engagement humaniste au-delà des mots.
Lors d’une interview dans les années 1950, Pearl Buck confia que sa mère ne parlait que très peu de ses années en Chine, préférant le silence à la nostalgie. Pearl Buck, qui avait grandi dans ce pays, disait avoir “reconstruit” l’histoire de sa mère à partir de fragments, de souvenirs et de silences.
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Dos carré collé. Couverture illustrée, un peu défraîchie. Tranches oranges. Petites taches de rousseur sur la page d’introduction. Pages jaunies. Très bon état général. 255 pages.
🔍 Un récit poignant et intime, porté par la plume d’une lauréate du prix Nobel de littérature. Voici les mots-clés pour ce roman :
• Pearl Buck
• L’Exilée
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• littérature américaine
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• roman émouvant
L’Exilée est un roman profondément personnel. Il s’inspire de la vie de sa propre mère, Carie Sydenstricker, une Américaine puritaine qui suivit son mari missionnaire en Chine. Ce récit, publié en français en 1968 dans la collection Le Livre de Poche, est à la fois un hommage et une confession. Elle y explore les tensions entre foi, devoir et humanité, à travers le regard d’une femme confrontée à la misère et à la beauté d’un monde radicalement différent du sien. Ce livre est donc autant une biographie qu’un miroir de l’enfance de Pearl Buck, qui deviendra plus tard la première femme américaine à recevoir le prix Nobel de littérature en 1938.