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1950. Édition originale. Sous titre : « 1786-1950 ». Illustrations en noir et blanc. Le beau voyage de Lutèce à Paris, les propylées de Paris, le carnaval romantique, le théâtre sur les boulevards extérieurs, boulevards de science, d’art, de poésie et de solidarité, Chaillot, capitale du monde... Ce livre retrace l’histoire des boulevards extérieurs de Paris, depuis leur naissance sous Louis XVI jusqu’à leur rôle dans la capitale moderne (Une fresque historique et culturelle des boulevards extérieurs parisiens, de 1786 à 1950). L’auteur : Jean Valmy-Baysse (1874–1962) fut un poète, romancier, journaliste et historien français. Il fonde plusieurs revues littéraires, dont Les Poèmes, La Nouvelle Revue Moderne et La Vie. Il est nommé secrétaire général de la Comédie-Française en 1927.
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Broché. Couverture illustrée. Tranches et papier jaunis. Une petite tache dans le bas de la quatrième de couverture. Non coupé. Très bon état général. 522 pages.
🔍 Les coulisses de Paris à travers ses boulevards oubliés, entre rêve et réalité. Voici les mots-clés autour de cet ouvrage : Paris, boulevards, histoire, urbanisme, Valmy-Baysse, 1950, architecture, théâtre, exposition, livre illustré
Jean Valmy-Baysse, a été vice-président de la Société des gens de lettres et fondateur d’une société de secours mutuel pour les écrivains combattants. Son œuvre est marquée par un profond attachement à Paris, à son histoire, à ses marges et à ses figures populaires.
En 1927, Jean Valmy-Baysse est nommé secrétaire général de la Comédie-Française, l’une des institutions théâtrales les plus prestigieuses de France. Ce poste, souvent réservé à des administrateurs chevronnés, est confié à un poète — ce qui étonne le monde du théâtre. Mais Valmy-Baysse transforme cette surprise en triomphe : il organise plus de 150 matinées poétiques dans la salle Richelieu, où il fait lire et jouer les œuvres de plus de 400 poètes contemporains.
Ce n’était pas juste de la programmation : c’était une mission littéraire. Il voulait que la poésie vive sur scène, qu’elle soit entendue, ressentie, partagée. Et grâce à lui, des vers qui auraient pu rester dans l’ombre ont résonné sous les dorures de la Maison de Molière.