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1957 : Préface du duc de Brissac, illustrations du baron Karl Reille. Ce livre est un recueil de souvenirs du comte Roger de Fleurieu (1873–1957) cavalier réputé et veneur sarthois. Il retrace avec finesse sa vie à travers les grands événements du XXe siècle : la Première Guerre mondiale, l’entre-deux-guerres, la Seconde Guerre mondiale et la Libération. Chroniqueur de la vie rurale aristocratique. Ce livre est son œuvre testamentaire.
Karl Reille, baron et illustrateur renommé, est célèbre pour ses dessins de chasse et de vénerie
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Broché, couverture illustrée, légèrement défraîchie avec quelques petites taches. Pages légèrement jaunies. Non coupé. 219 pages.
🔍 Un témoignage rare et élégant d’un cavalier d’exception, traversant les soubresauts du XXe siècle avec panache. Voici les mots-clés autour de ce livre pour les passionnés d’histoire, de vénerie et de littérature aristocratique :
• Roger de Fleurieu
• vénerie
• chasse à courre
• Karl Reille
• duc de Brissac
• mémoires aristocratiques
• Première Guerre mondiale
• Seconde Guerre mondiale
• vie rurale
• cheval
• édition 1957
• livre ancien
• Olivier Perrin éditeur
• livre rare
• noblesse française
Olivier Perrin était un éditeur parisien actif au milieu du XXe siècle, spécialisé dans les ouvrages historiques, littéraires et aristocratiques. Bien qu’il ne soit pas aussi connu que Gallimard ou Grasset, ses publications sont souvent de qualité, avec un soin particulier apporté à l’iconographie et aux préfaces prestigieuses. Cela ajoute une valeur patrimoniale à l’ouvrage.
Roger de Fleurieu :
• Roger Claret de Fleurieu était issu d’une lignée noble sarthoise. Il intégra Saint-Cyr dans la promotion Alexandre III, ce qui en dit long sur son rang et son éducation militaire. Il servit dans le 4e régiment de hussards, réputé pour son élégance et son esprit cavalier.
• Un homme de vénerie : Passionné de chasse à courre, il était un veneur reconnu dans la Sarthe. Il ne se contentait pas de suivre les équipages : il les dirigeait, les chroniquait, et les immortalisait dans ses écrits. Son livre est une ode à la ruralité aristocratique, mais aussi un témoignage de la France profonde traversée par les guerres.
• Un style à l’ancienne : Il refusait de couper les pages de ses livres. C’était une marque de respect pour l’objet-livre, une certaine noblesse du rapport au livre, mais aussi une coquetterie d’époque (un peu comme on garde une bouteille de vin sans l’ouvrir, par respect pour ce qu’elle représente).
Karl Reille : le peintre-reporter de la vénerie
• Peintre sur le terrain : Il ne peignait pas en atelier, mais directement sur le terrain, au cœur des chasses. Il esquissait les chiens, les chevaux, les veneurs en action, ce qui donne à ses œuvres une intensité rare. Il était surnommé le “peintre-reporter” de la chasse à courre.
• En 1922, il fonde avec le baron Jean de Lauriston un équipage de chasse au chevreuil, le Rallye Gaîment, qui devient un haut lieu de la vénerie tourangelle. Il y mêlait art, nature et tradition.
Le duc de Brissac : entre faste et fantômes
• “Si je n’étais dauphin…” : Le fils de François Ier aurait dit à Charles Ier de Cossé, premier maréchal de Brissac : “Si je n’étais dauphin, je voudrais être Brissac”. Une phrase qui résume le prestige de cette famille.
Dernière mise à jour de la fiche : septembre 2025