

1949 : Collection La Petite histoire des grands artistes, cet ouvrage explore la vie quotidienne, les amours, les rivalités et les habitudes des peintres français du XVIIIe siècle. Alfred Leroy nous invite à découvrir les coulisses de l’art, entre salons parisiens et ateliers discrets. En fin d’ouvrage : notes bibliographiques. A l’ombre du vieux Louvre, François Boucher, Chantereau, Lemoyne, Perronneau, Nattier, Tocqué, Chardin, Cochin, Fragonard, La Tour, Greuze… Illustrations en noir et blanc
Alfred Leroy (1897–19..) historien de l’art, connu pour ses ouvrages sur la vie des artistes. Dans La Vie intime des artistes français au XVIIIe siècle, dévoile les facettes méconnues de figures majeures comme Watteau, Fragonard ou Chardin…
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Broché, couverture illustrée jaunie. Dos défraîchi. Pages jaunies. Bon état intérieur. Non coupé. 302 pages.
🔍 Plongeon dans les coulisses de la création artistique au siècle des Lumières, là où les pinceaux cachent des passions et les ateliers des secrets. Voici les mots-clés autour de ce livre :
• XVIIIe siècle
• Art français
• Vie intime des artistes
• Alfred Leroy
• Julliard 1949
• Watteau à David
• Peinture classique
• Livre illustré
• Livre ancien
• Histoire de l’art
• Fragonard, Chardin, Boucher
• Collection La Petite histoire des grands artistes
Polygraphe passionné : Alfred Leroy n’était pas seulement historien d’art, il a aussi écrit sur des figures historiques comme Marie-Antoinette, Louis XVI, Beethoven et même l’impératrice Eugénie. Ce goût pour les personnalités à la fois artistiques et politiques montre son intérêt pour les destins hors normes et les vies intimes derrière les apparences.
Lors de sa parution en 1949, La Vie intime des artistes français au XVIIIe siècle s’inscrivait dans une volonté éditoriale de rendre l’histoire de l’art plus accessible et humaine. Ce qui est amusant, c’est que le livre fut parfois considéré comme un "roman sans fiction" par certains lecteurs de l’époque : Alfred Leroy y décrit les artistes avec une telle vivacité — leurs amours, leurs manies, leurs rivalités — qu’on aurait cru lire un feuilleton mondain plutôt qu’un essai historique.
Un exemple : Leroy raconte comment Jean-Baptiste Greuze, obsédé par la reconnaissance académique, aurait pleuré de rage en apprenant que ses œuvres étaient jugées trop sentimentales pour être admises à l’Académie royale. Ce genre de détail, à mi-chemin entre le drame et la comédie, donne au livre une saveur unique, presque théâtrale.
Dernière mise à jour de la fiche : septembre 2025