Préférences sur les cookies
Les Quarante médaillons de l’Académie, par Jules Barbey d’Aurevilly, Dentu libraire-éditeur.
50,00 €
1864 : le duc de Broglie, Monseigneur Dupanloup, Montalembert, Alfred de Vigny, Octave Feuillet, Ampère, Victor Hugo, Ponsard, Prosper Mérimée, Lamartine, Sainte Beuve…
Dans Les Quarante médaillons, Barbey d’Aurevilly n’épargne personne, pas même les figures les plus vénérées de son temps. Il qualifie Victor Hugo de “génie sans goût” et Sainte-Beuve de “critique sans âme”. Mais ce qui est savoureux, c’est qu’il avait envisagé de publier ces portraits sous le titre “Le Grand almanach des petits hommes”, en hommage ironique à Rivarol.
Ce projet fut jugé trop acerbe par son éditeur, Dentu, qui le convainquit d’adopter un titre plus neutre. Barbey céda… mais conserva toute sa verve dans le texte. Le livre est donc un chef-d’œuvre de vitriol, où chaque “médaillon” est une estocade littéraire.
Garanties sécurité
Tout notre site est sécurisé SSL
Politique de livraison
Livraison par Colissimo
Politique retours
14 jours après réception du colis.
Broché, dos usé, couvertures défraîchies. Taches pales de rousseur sur les pages. Bon état intérieur. 135 pages.
🔍 Quarante portraits, quarante piques : Barbey d’Aurevilly tire à plume sur l’Académie avec panache et ironie mordante. Voici les mots-clés autour de ce livre :
• Jules Barbey d’Aurevilly
• Académie française
• Portraits littéraires
• Satire du XIXe siècle
• Dentu éditeur
• Édition 1864
• Littérature française
• Victor Hugo
• Sainte-Beuve
• Livre ancien
• Critique littéraire
• Dandy français
• Médaillons académiques
Barbey d’Aurevilly était si attaché à son image de dandy provocateur qu’il refusait de se faire photographier autrement qu’en redingote, gants blancs et lavallière. Lors d’un dîner mondain, un jeune critique osa lui demander pourquoi il s’habillait “comme un personnage de roman”. Barbey répondit : “Parce que je suis un personnage de roman. Le mien.”
Ce sens du théâtre, il l’appliquait aussi à sa plume. Il disait que la critique littéraire devait être une scène de duel, et non un salon de thé. C’est cette posture qui fait de lui un connétable des lettres, comme le surnomma Léon Bloy, admirateur fervent.
Dernière mise à jour de la fiche : septembre 2025
C8-43
1 Article
Commentaires (0)
Aucun avis n'a été publié pour le moment.
Déjà vus
16 autres produits dans la même catégorie :
1864 : le duc de Broglie, Monseigneur Dupanloup, Montalembert, Alfred de Vigny, Octave Feuillet, Ampère, Victor Hugo, Ponsard, Prosper Mérimée, Lamartine, Sainte Beuve…
Dans Les Quarante médaillons, Barbey d’Aurevilly n’épargne personne, pas même les figures les plus vénérées de son temps. Il qualifie Victor Hugo de “génie sans goût” et Sainte-Beuve de “critique sans âme”. Mais ce qui est savoureux, c’est qu’il avait envisagé de publier ces portraits sous le titre “Le Grand almanach des petits hommes”, en hommage ironique à Rivarol.
Ce projet fut jugé trop acerbe par son éditeur, Dentu, qui le convainquit d’adopter un titre plus neutre. Barbey céda… mais conserva toute sa verve dans le texte. Le livre est donc un chef-d’œuvre de vitriol, où chaque “médaillon” est une estocade littéraire.