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Portrait de Voltaire en médaillon, couverture illustrée du tome IV de "La Poésie du XVIIIe siècle" par Sabatier.
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  • Portrait de Voltaire en médaillon, couverture illustrée du tome IV de "La Poésie du XVIIIe siècle" par Sabatier.

La Poésie du 18e siècle tome 4, par Robert Sabatier, Albin Michel

20,00 €

1975. Dans la collection : « Histoire de la poésie française» dirigée par Robert Sabatier. Ce quatrième tome explore les grands noms du XVIIIe siècle : Rousseau, Fontenelle, Voltaire, Chénier… En fin d’ouvrage un index des noms cités.

Robert Sabatier (1923–2012), poète, romancier, critique littéraire, essayiste...et amoureux des mots sous toutes leurs formes. Né à Paris, élevé à Montmartre puis dans le quartier du canal Saint-Martin, il perd ses parents très jeune et apprend le métier de typographe à 13 ans dans l’imprimerie de son oncle. Élu à l’Académie Goncourt en 1971 et à l’Académie Mallarmé. Il a été directeur littéraire chez Albin Michel, et même auteur de romans policiers sous le pseudonyme Robert Vellerut.

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Broché. Couverture illustrée à rabats. Très bon état général. 310 pages.

🔎 Un panorama érudit et vivant de la poésie française au XVIIIe siècle, entre Lumières et sensibilité préromantique. Voici les mots-clés caractérisant ce livre passionnant, aux thèmes riches et aux figures littéraires emblématiques du XVIIIe siècle :

poésie, XVIIIe siècle, Sabatier, Rousseau, Voltaire, Chénier, histoire littéraire, Albin Michel, livre broché, Claude Cherrier, Jacques Prévert, épigrammes, poésies mnémotechniques, chant des oiseaux.

Dans le tome 4 de L’Histoire de la poésie française, consacré au XVIIIe siècle, Robert Sabatier s’amuse à redonner vie à une époque souvent jugée « sans poésie ». Il prend le contre-pied de cette idée reçue en explorant non seulement les grands noms comme Voltaire ou Rousseau, mais aussi une foule de poètes oubliés, marginaux ou excentriques. Sabatier évoque Claude Cherrier, un poète si méconnu qu’il est presque un fantôme littéraire… mais dont les vers annoncent, selon lui, rien de moins que Jacques Prévert.

Sabatier le ressuscite avec une tendresse presque complice. C’est typique de son approche : il ne se contente pas de dresser une galerie de portraits convenus, il fouille les marges, les bizarreries, les épigrammes et les poésies mnémotechniques, comme celles de Dupont de Nemours, qui transcrit en vers… le chant des oiseaux.

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