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1971. Dans la collection : « Médiations » Sous-titre : « Nous aussi sommes suspects ». Non violence et défense légitime, les causes profondes de la guerre, l’expédition du Larzac, la voix des femmes au Concile, déclarations du Concile… Un traité profond sur la non-violence comme méthode d’action et de conscience face à l’injustice et à la guerre.
Lanza del Vasto, disciple de Gandhi, fonda la communauté de l’Arche en France. Philosophe, poète et militant, il parcourut l’Inde à pied pour rencontrer Gandhi, qui le surnomma « Shantidas » — serviteur de paix. Il disait que « l’Arche avait pour voilure une vigne ». Une image poétique pour dire que la communauté avançait lentement, enracinée dans la terre, mais portée par une force invisible — la foi, la paix, la fraternité.
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Dos carré collé. Couverture illustrée. Tranches et papier jaunis. Toutes petites taches de rousseur sur la page de titre. Très bon état général. Exemplaire du Service de Presse. 242 pages.
🔍 Un ouvrage visionnaire qui éclaire les luttes contemporaines à la lumière d’une sagesse intemporelle. Voici les mots-clés pour cet ouvrage :
Non-violence, spiritualité, Larzac, pacifisme, concile, désobéissance civile, philosophie, édition rare, livre engagé, Gandhi.
Lors d’une conférence au Collège Ahuntsic à Montréal en 1969, Lanza del Vasto est arrivé pieds nus, vêtu d’un rude costume tissé brun, avec une barbe blanche imposante et un regard profond. Ce n’était pas un effet de style : il vivait réellement selon les principes qu’il prônait. Ce disciple de Gandhi, surnommé Shantidas (Serviteur de Paix), refusait les artifices modernes et prônait le retour au travail manuel, à la simplicité volontaire et à la cohérence entre pensée et mode de vie.
Ce jour-là, les étudiants, d’abord intrigués, ont été littéralement captivés par sa parole. Il ne parlait pas seulement de non-violence comme d’une idée, mais comme d’un mode d’être. Et il avait cette capacité rare de faire ressentir que chaque mot était vécu, incarné.